Dernier petit tour rapide par la morgue avant Halloween, avec comme guide cette fois Ernesto Muñiz. Si comme Martha Pacheco il nous vient du Mexique, le pays où on fête la mort, c’est, à l’instar de Andres Serrano, le réalisme de la photographie qu’il choisit pour nous faire pénétrer dans l’antre de la mort et y constater la rigidité cadavérique, ou rigor mortis en latin, de ses locataires :