Il y avait longtemps qu’on ne s’était plus tournés vers ces paradis de démocratie et la liberté d’expression qu’est la Chine.
Pour un aperçu des meilleures productions de ce grand pays, plongez-vous dans notre thématique « C’est pas chinois »
Mais cette fois-ci ce n’est pas le talent masochiste que nous célébrons, mais la passion de Zhang Peng pour une drôle, pour ne pas dire bizarre, de petite fille. Mais si l’image qu’il propose de cette archétype de la fillette ne correspond pas vraiment à la sacro-sainte image de la petite fille modèle, seule acceptable chez nous, c’est que qui dit Chine dit « Politique de l’enfant unique », qui en 2015 a évolué vers deux enfants maximum.
Et si, à choisir entre une petite fille ou un petit garçon, les chinois, on ne sait pourquoi, préféraient avoir un petit garçon, la petite fille c’était beurk, dans le meilleur des cas, dans le pire un petit coup d’aiguille à tricoter, il n’y a pas d’âge pour apprendre à faire des mailles, et voilà le compteur à bébés à nouveau à zéro.
Du coup on comprend mieux que la petite fille au centre de toute l’œuvre ou presque de Zhang Peng qu’elle soit un peu, mais juste un peu, bizarre. Maintenant pas certain que ça aide les parents chinois à trouver les petites filles cools.