Susan Copich, le monde en mode Desperate HouseMom
Susan Copich propose une vision très Desperate Housewife du bonheur familial en recouvrant du filtre de l’humour noir les photos de famille…
Susan Copich propose une vision très Desperate Housewife du bonheur familial en recouvrant du filtre de l’humour noir les photos de famille…
Pole Ka m’a d’abord fait rire ! Enfin, pas elle, mais son « Docteur Maboul », revisité dans une version vintage, et avec un patient qui hurle sa douleur … C’est drôle, non ? Moi je trouve ça drôle … Et c’est précisément par cette vidéo-là que j’ai découvert le travail de cette artiste à l’univers un peu macabre, mais aussi un peu comique, ou grotesque, pour utiliser un mot qu’elle a choisi lui même.
Quand j’ai vu ça, je me suis dis que je devais contacter Hobin ! Et lui poser quelques questions … Alors c’est ce que j’ai fait, avec l’aide de Soeur Marie-Josèphe, qui a gentiment traduit les réponses et les questions (donc en gros j’ai rien foutu, exactement).
Quand Pascal Uccelli nous a contacté pour nous proposer de nous envoyer de la poésie, j’ai accepté par politesse tout en me demandant ce que j’allais bien pouvoir foutre avec des poèmes … Ce n’est pas vraiment le genre de la maison … Ici on aime les images, les visuels, les trucs qui heurtent au premier regard … En tous cas, pas de la poésie … Faut pas déconner, merde, c’est Shockyou ici, pas la Pléiade des Bisounours.
Mais qui est Musta Fior ? En voilà une bonne question. Tentons d’y répondre en image … Et avec beaucoup de poésie, parce que le bon goût et la subtilité artistique des travaux présentés invitent à la plus grande délicatesse …
Patricia Waller fait du crochet qui choque. De jolis « jouets » issus d’un univers enfantin coloré, mais qui s’avèrent plus morbide qu’il n’y paraît au premier regard.
En voyant les tableaux de Ashley Johnson, Canada, ma réaction fut la suivante, Ashley m’en est témoin : Georgous ! Magnifique ! Waw … Nan mais allo quoi ! Putain, j’adore …
« Je stigmatise l’hypocrisie et la monstruosité des hommes en les représentant couverts de plaies, obsédés, laids » (Patrick Jannin)
« Cette série de collages intitulée Coca-Coola tente d’amoindrir l’Hyper Maîtrise de la Communication Coca, qui, juste en ajoutant notre « pauvre » prénom sur ses bouteilles arrive à doubler ses ventes…»